POLITIQUE
Candidat à la députation du Grand Conseil sur la liste radicale, voici dans les grandes lignes ce que je défends.
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Le Canton, on y croit!
Yanick Hess -> au Grand Conseil le 11 mars
«Où sont mères et pères?
Ou sont mes repères?»
Venez sur mon blog |
Défendre vos valeurs de la famille, revaloriser une saine autorité, tels sont mes buts.
Dans une société en constante évolution, mon but est de former notre jeunesse aux métiers futurs. Etre prêt à évoluer avec et pour la technique.
La mobilité professionnelle sera l’atout indispensable dont nos jeunes doivent se parer.
Beaucoup d’élèves qui entrent à l’école aujourd’hui ne peuvent connaître leur profession future, car celle-ci n’existe pas encore!
Nos enfants demandent des limites claires pour évoluer harmonieusement. Il est de notre devoir de participer à cette tâche complexe qu’est l’éducation.
Dans le cadre de mon métier, ma vision est qu’une pratique judicieuse du sport apporte l’équilibre à chacun. L’important n’étant pas le but à atteindre, mais bien le chemin que l’on emprunte. Apprendre à jouer ensemble, c’est apprendre à vivre ensemble.
Croire en ce que l’on fait, trouver son équilibre,
telles sont les valeurs
que je souhaite partager et défendre avec vous.
Conseiller communal, il a présidé le groupe radical, la commission de gestion et celle de naturalisation. Actuellement, est le secrétaire-webmaster du parti montreusien.
Professionnellement, il est en charge du décanat administratif de son établissement.
Il participe également à la formation des futurs enseignants en sa qualité de praticien formateur. Vice-Président de l’association des responsables informatiques vaudois, il soutient l’aide en ligne et les projets pédagogiques intégrant les nouvelles technologies.
37 ans, Doyen, prof de sport et informatique.
Marié, père de 2 enfants de 6 et 4 ans.
Habitant Glion, il est membre de nombreuses sociétés locales.
Depuis 1987, il collabore au Montreux Jazz Festival.
A l'élection au Grand Conseil:
votez la liste radicale
et cumulez votre candidat!
Flyer (2,6 Mo)
Mes idées en politique
Grève des enseignants vaudois
Education physique à l'école
Les étrangers délinquants
La politique expliquée avec humour, pour
ceux qui n'y comprennent rien !
Incivilités des jeunes, quel remède?
CV Politique
Vous trouverez également différents informations sur
les sites que je gère:
Radicaux-montreux.ch
centre-droite.ch
ainsi que les liens suivants:
Parti Radical de la Riviera
Le PRDV
Le PLV
Etat de Vaud
Administration fédérale
Statistique
suisse
Grèves
des enseignants vaudois
Ne pas mettre tous les enseignants dans le même panier
Enseignant, je n’ai pas pris part aux grèves comme de
nombreux employés de l’Etat qui ont effectué leur
travail afin de ne pas pénaliser par exemple les élèves
ou malades.
Si je comprends la grogne d’une partie de la population suite
aux grèves répétées de la fonction publique,
je crois qu’on ne peut ignorer la pénibilité du
travail des enseignants, des infirmiers ou des gendarmes, entre autres.
Toutefois certaines revendications ne peuvent traitées à
la légère. La situation actuelle n’est pas bonne
: celles et ceux qui s’investissent, qui passent du temps à
se former ou varient leurs cours n’ont que la satisfaction personnelle
d’un travail bien accompli, opposés à ceux qui n’en
fourniraient que le minimum. Si le salaire peut-être déterminé
par le titre obtenu et des années d’expérience,
d’autres paramètres de qualité devraient intervenir.
Le problème reste à fixer les critères d’appréciation
!
S’il est vrai que l’image du régent, « personnage
semi-publics » comme le définit si bien M. A. Dormond,
n’est plus d’actualité, force est de constater que
beaucoup d’enseignants se dévouent dans de nombreuses activités
associatives ou autres mandats. Quant aux vacances des profs, objet
de tant de convoitise et de critique, je suis favorable à ce
qu’une partie de ces périodes sans élèves
soient consacrées à de la formation continue ou autres
activités préparatoires.
Contribuable, j’apprécie que la majorité des employés
de la fonction publique ne sont pas trop à plaindre en regard
des difficultés actuelles du secteur privé. Il est donc
impératif que l’administration cantonale améliore
ses structures et son efficience, sans coûter forcément
plus cher.
Il est urgent que l’ensemble des collaborateurs de l’Etat
se solidarise pour trouver le moyen d’arrêter cette spirale
à l’endettement. Nous avons tout intérêt à
retrouver un équilibre financier vital à tous. Inutile
de dire :« yaka » prendre chez les autres, mais plutôt
trouver dans son service comment éviter des dépenses superflues.
Si les négociations entre le Conseil d’Etat et les syndicats
aboutissent, il sera possible d’éviter que les bas salaires
de la fonction publique ne soient pas trop pénalisés.
Une contribution de solidarité pourrait être notre salut
à tous.
EPH
: EDUCATION physique
Nous sommes entièrement conscients que bien des enseignants
n’ont pas assez de temps à disposition pour étudier
leur vaste programme. Discutez avec eux de leur discipline, et ils la
défendront avec vigueur. Il est vrai que, comme me la rappelait
Mme de Lattre-Wiesel, regrouper des branches à faible dotation
horaire sur un semestre pendant deux heures permettrait de gagner en
intensité et efficacité. Au lieu de « saupoudrer
» à coup d’une heure hebdomadaire sur une année,
ne pourrait-on pas mettre l’accent pendant un semestre en doublant
les heures ?
Inutile en ces quelques lignes de dévaloriser une branche plus
qu’une autre, ce n’est pas le but de mes propos. Par contre,
s’il vous apparaît que l’éducation physique
est trop bien lotie dans l’enseignement, songeons à ce
qu’elle apporte à nos élèves.
Si la loi fédérale prévoit 4 heures hebdomadaires,
trop peu d’établissements peuvent l’appliquer! Les
causes sont le manque de locaux et de temps !
Beaucoup rétorqueront que les enfants font déjà
assez de sport comme ça, il est inutile d’en faire encore
à l’école ; mais croyez-vous sincèrement
que tous les enfants ont la chance de pratiquer hebdomadairement une
activité sportive ? Contrairement à certaines croyances,
nos leçons ne sont pas un défouloir, mais une occasion
entre autres de mieux connaître son corps, d’élaborer
avec des partenaires des stratégies, d’apprendre à
collaborer, etc.
N’oublions pas que ce sont lors des leçons d’EDUCATION
physique, que les maîtres peuvent aborder au mieux l’apprentissage
du savoir être, et toutes les règles relatives au comportement
que l’on a dans le jeu et… notre société.
Cet aspect éducatif est très important dans les leçons
d’EPH dispensées dans notre canton.
A l’heure où l’on se plaint d’incivilités
et de comportement inadaptés de nos jeunes, rassurons-nous en
redonnant au sport l’objectif qu’il vise : un esprit sain
dans un corps sain.
Etrangers
délinquants
Cela aurait pu être un poisson d'Avril, il n'en a rien été.
L'opération coup de poing menée par les forces de l'ordre
vaudoise nous l'a de nouveau démontré: il y a de l'abus
de la part de certains étrangers.
Même les responsables chargés du fonctionnement des lieux
d'hébergement sont débordés. Devoir se substituer
en policier en place d'assistant social ne doit pas être facile.
Voir une telle disparité entre certains réfugiés
laisse songeur: l'un sort son portable et quelques billets sachant que
son voisin n'a que trois francs par jour. Cela n'est pas être
facile de s'occuper de ceux qui doivent véritablement bénéficier
d'une aide sociale. Tout le monde se plaint de ces "parasites", les
vrais réfugiés en premier, mais quelle solution?
Le chef du Service des requérants d'asile de l'OCP, M. André
Faggioni, a même déclaré dans la presse "qu'un bon
tiers des demandes sont manifestement non fondées". Si des personnes
se rendent en Suisse dans le seul but de commettre des délits,
et utilisent la procédure de demande d'asile comme couverture,
je trouve qu'une procédure devrait être mise sur pied pour
les renvoyer sans délais. Il est inconcevable que l'on pénalise
de vrais réfugiés, qui se comportent convenablement, pour
une minorité de délinquants qui désécurisent
la population et profitent de la gentillesse de notre état.
La violence xénophobe et raciste naît aussi par le comportement
répréhensible de ces trafiquants et délinquants.
Ne pénalisons donc pas le vrai réfugié.
Petit problème
mathématique vu selon
plusieurs angles politiques
Différentes idéologies expliquées par référence
aux Vaches
FEODALISME
Vous avez deux vaches. Votre seigneur prend un peu de lait.
SOCIALISME PUR ET DUR
Vous avez deux vaches.Le gouvernement vous les prend et les met dans
une étable avec les vaches d'autres éleveurs.
Vous devez entretenir toutes les vaches. Le gouvernement vous donne
tout le lait dont vous avez besoin.
SOCIALISME BUREAUCRATIQUE
Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous les prend et les met dans
une étable avec les vaches d'autres éleveurs. Les vaches
sont entretenues par des ex-éleveurs de volailles. Vous, vous
devez vous occuper des volailles qui ont été prises aux
éleveurs de volailles.
Ensuite le gouvernement vous donne la même quantité d'oeufs
et de lait qu'à tout le monde.
FASCISME
Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous les prend, vous loue pour
prendre soin d'elles, et vous vend le lait.
COMMUNISME PUR ET DUR
Vous avez deux vaches. Votre voisin vous aide à les entretenir,
et vous partagez le lait.
COMMUNISME SOVIETIQUE
Vous avez deux vaches. Vous devez les entretenir, mais le gouvernement
prend le lait.
COMMUNISME CAMBODGIEN
Vous avez deux vaches. Le gouvernement les prend et vous tue.
DICTATURE
Vous avez deux vaches. Le gouvernement les prend et vous incorpore dans
l'armée nationale.
DEMOCRATIE PURE ET DURE
Vous avez deux vaches. Vos voisins décident de qui prend le lait.
DEMOCRATIE REPRESENTATIVE
Vous avez deux vaches. Vos voisins élisent quelqu'un pour choisir
qui prendra le lait.
BUREAUCRATIE (EUROPEANISME)
Vous avez deux vaches. D'abord le gouvernement vous dit avec quoi vous
devez les nourrir et comment vous devez les traire. Puis il vous paie
pour ne pas les traire. Puis il vous prend les deux vaches, en tue une,
traie l'autre et jette le lait dans le caniveau. Puis il vous demande
de remplir des formulaires pour comptabiliser les vaches manquantes.
ANARCHIE PURE ET DURE
Vous avez deux vaches. Ou bien vous vendez le lait à un tout
petit prix, ou bien vos voisins essaient de prendre les vaches et de
vous tuer.
ANARCHO-CAPITALISME
Vous avez deux vaches. Vous en vendez une et achetez un taureau.
SURREALISME
Vous avez deux girafes. Le gouvernement vous oblige à prendre
des cours d'harmonica.
OLYMPISME
Vous avez deux vaches, une américaine et une chinoise. Avant
la compétition, on vous montre à la télé
un reportage de 15 minutes qui retrace comment la vache américaine
a surmonté les affres d'une jeunesse passée dans les ghettos
noirs et blancs, avec des parents divorcés etc... Puis on vous
montre pendant 10 secondes la vache chinoise battue chaque jour par
un fermier tyranique et ayand vu ses parents abattus, dépecés
et découpés devant ses yeux.
La vache américaine gagne l'épreuve, triomphant malgré
une sévère foulure de la mamelle, et gagne plusieurs millions
de dollars grâce à un contrat passé avec un vendeur
de soja.
La vache chinoise est conduite hors du stade et abattue par les officiels
du gouvernement chinois, et personne n'entend plus parler d'elle.
McDonald achète sa viande et la sert dans les Big Mac de son
restaurant de Pékin.
Incivilités de certains jeunes
Il est terrible le bruit de l'adolescent qui vide son "trop-plein"
de violence et d'agressivité. Terrible parce qu'il fait mal.
Mal aux autres et mal à soi.
Avant de condamner les actes répréhensibles de ces jeunes,
cherchons aussi à comprendre d'où vient le mal.
Pour quelles raisons en arrivent-ils à des situations extrêmes,
ce qui était moins le cas il y a encore une dizaine d'années?
Trouver des coupables est facile, mais ne résout pas le problème.
Est-ce le fait de la banalisation de la violence dans les médias,
dans les films? Je n'en suis pas certain, car rien n'a beaucoup changé
depuis dix ans.
Ce que je constate par contre, c'est le manque de repères et
de limites que reçoivent les enfants. L'acte éducatif
est du ressort des parents, mais que faire lorsque ces derniers sont
absents ou démissionnaires? Vous me direz que c'est le rôle
de l'école, de l'église, des associations sportives, ou
d'autres institutions; là se trouve peut-être la solution,
mais il faut leur en donner les moyens.
Qui est le plus coupable entre un jeune qui déclare aimer "casser"
et des parents absents ? Si nous amenons de l'eau aux racines,
les branches se porteront mieux.
Il est donc primordial que les autorités politiques, qu'elles
soient communales ou cantonales, se penchent sur la question et agissent.
Lorsque je lisais qu' "Objectif Grandir" était remis en question
par certaines personnes, je me suis dis qu'il faut éclairer les
zones d'ombre, garder le meilleur et l'adapter pour fournir aux enseignants
un bon moyen éducatif et de dialogue. Dans tous les cas, nous
devons trouver un outil qui amène des repères aux jeunes,
un outil pour montrer l'utilité de règles sociales.
Les enfants sauront alors, j'en suis convaincu, mieux communiquer et
exprimer leurs émotions et sentiments.